C’était pour moi un devoir moral car ces harkis avaient tous combattu avec mon père pour que l’Algérie demeure française. Quand je suis arrivé en France, j’ai travaillé avec mon père qui accueillait les harkis par milliers. Il a donc constitué l’un des premiers bataillons de harkis. Pourtant, un examen de l’histoire de l’intégration européenne révèle une réalité différente : une réalité dans laquelle l’Algérie – un État majoritairement musulman situé sur la rive sud de la Méditerranée – joue un rôle central. Les médecins, outils au service de la colonisation On retrouve cette idée dans l’ouvrage de Léonard Jacques, il y a « utilisation politique de la médecine européenne pour saper l’influence musulmane, pour conférer à la domination française une caution humanitaire, et pour inspirer aux indigènes une certaine confiance dans leurs vainqueurs ».
La réunion à l’hôtel El Djazair à partir de 09h00. La rencontre s’inscrit dans le cadre du projet conjoint d’Appui aux efforts de l’Algérie contre les violences faites aux femmes et aux filles, mis en œuvre par l’ONUDC et le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) en partenariat avec l’ambassade du Royaume des Pays-Bas. Elle a pour objectif de rappeler l’importance d’une action coordonnée contre les violences faites aux femmes et aux filles et à mettre en lumière l’importance de la prévention en vue d’éliminer ces violences. Cette journée multisectorielle a pour objectif de souligner les acquis et défis dans la prévention et l’élimination de ces violences, toute en mettant en lumière les leçons apprises, les défis et recommandations possibles à l’intention des acteurs en charge de la réponse contre les violences et la protection des victimes en Algérie.
Plus précisément, il s’agira de : 1/ Souligner l’importance des interventions nationales contre les violences faites aux femmes et aux filles ; 2/ Rappeler le cadre juridique national et les mécanismes de protection et d’assistance des victimes ; 3/ Mettre en lumière l’importance d’une démarche multisectorielle impliquant l’ensemble des intervenants institutionnelles en vue d’apporter une réponse coordonnée contre les violences et en matière de protection et l’assistance des femmes et filles victimes de violences. Le législateur rédige alors en 1919 la loi Jonnart, qui octroie certains droits politiques aux indigènes et ouvre à près de 500 000 Algériens la possibilité d’occuper quelques emplois subalternes de la fonction publique.
Mais ils ne jouissent ni des droits civils, ni des droits politiques : ils ont une nationalité de sujet, par défaut en quelque sorte, fondée non pas sur l’attribution de droits mais sur le fait que « placés sous la souveraineté directe et immédiate de la France, ils sont dans l’impossibilité de pouvoir en aucun cas revendiquer le bénéfice ou l’appui d’une autre nationalité : d’où il suit nécessairement que la qualité de Français pouvait seule désormais être la base et la règle de leur condition civile et sociale ». Cette journée réunira des intervenants de différents secteurs : Ministère de la Défense et de la Gendarmerie nationale ; Ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales et de la Direction Générale de la Sureté Nationale ; Ministère de la Justice ; Ministère de la Solidarité Nationale, de la Famille et de la Condition de la femme ; Ministère des Affaires religieuses et des Wakfs ; Ministère de la Santé ; Ministère de la Communication ; Le Conseil National Economique Social et Environnemental (CNESE) ; Organe national de protection et de promotion de l’enfance (ONPPE).
Les ablutions religieuses quotidiennes seraient certes, obligatoires, mais très simplifiées et insuffisantes pour atteindre une hygiène totale. Dans ce cadre, l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC) organise, sous les auspices du Gouvernement Algérien, une rencontre conjointe sur l’importance de la coordination multisectorielle des institutions nationales œuvrant à prévenir et lutter contre les violences faites aux femmes et aux filles, le 2 décembre 2021, à 9 heures. ’installent avec la colonisation (3)». L’islam aussi serait néfaste aux indigènes. Champion olympique en titre, le Canada voudra défendre sa couronne lors des prochains Jeux, tandis que le Brésil devra composer sans certaines de ses stars dont Formiga, toujours présente aux Jeux depuis Atlanta 1996, mais disposera toujours de forces conséquentes dans ses rangs, à l’image de ses attaquantes Bia Zaneratto et Debinha. Au contraire, en juin 2000, lors de sa première visite en France, le président algérien Abdelaziz Bouteflika nous a comparés aux collaborateurs français sous l’occupation nazie.
Le côté « tabou » est aussi à prendre en considération, plus particulièrement quand la cible est un ressortissant français. L’année 2022 marque les soixante ans de l’indépendance de l’Algérie, mettant un terme à 132 ans d’occupation coloniale par l’État français. Il existe également une fierté d’avoir chassé la France et d’être indépendant après ce combat asymétrique entre le Front de Libération Nationale (FLN) et l’armée française, cette réussite militaire est constitutive depuis l’indépendance de l’identité algérienne qu’importe la sensibilité politique ou religieuse : nationaliste, démocratique, socialiste ou islamiste. Le 19 décembre, l’Assemblée générale des Nations unies reconnaît le droit de l’Algérie à l’indépendance.
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